dimanche 19 avril 2009
Regain d'optimisme ?
Au cours de mes promenades urbaines, j'aime voir la végétation qui perce la pierre et le goudron. Une manière de rappeler à l'orgueil de l'être humain que la nature "sauvage" (non asservie par l'homme) se cache, attend son heure et aura toujours le dernier mot, même dans une grande ville; et que l'humanité (et ses vaniteux artefacts) n'est que de passage sur cette Terre. Vu le rythme actuel de destruction méthodique de la planète par l'être in-humain, le passage risque d'être vraiment rapide (comparé à la création de la Terre ou de l'Univers) !
Vorteks.
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